Lauréat du prix Jury et Public Boutographies 2023 « Nimissa »

Lauréat du prix du Public FATOUMATA DIABATÉ

Le Prix du Public : (Doté par notre partenaire Photon, avec un chèque de 500€ à valoir sur la production d’une exposition et soutenu par le magazine La Gazette de Montpellier)

la récompense le travail d’un des photographes que le public a choisi par vote. Ce prix est remis en fin de festival.

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SOTRAMA PHOTO : Quand « le métro vert » de Bamako devient un prétexte de popularisation de l’art de la photographie

     

« Studio mobile au cœur du quotidien de la population malienne », est la dénomination de la nouvelle trouvaille artistique que l’Association des femmes photographes et artistes du Mali va mettre en œuvre du 5 au 30 mars 2022. Le Jeudi 10 février 2022, cette initiative était au centre d’une conférence de presse animée au Centre Soleil d’Afrique à l’ACI-2000.

« En transformant une SOTRAMA (mini-bus) en studio photo mobile, Il s’agit de transformer le temps de transport quotidien en un temps de réflexion sur soi et sur la ville », a indiqué Fatoumata Tioyé Coulibaly, vice-présidente de l’Association des femmes photographes et artistes du Mali (AFPM).

 

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Pour ses 10 ans, le magazine de photo Fisheye organise une expo XXL… dans le métro

Pour son 10e anniversaire, Fisheye nous fait un cadeau. Le magazine file underground et expose ses chouchous en grand format dans le métro jusqu’au 31 mars. Le thème est de saison : le carnaval mais pas besoin de troquer votre jean pour un slip à plumes. L’expo souterraine présentera les œuvres de Gerwyn Davies, Cecilia Paredes, Patty Carroll, Chiron Duong, Fatoumata Diabaté, Marian Goledzinowski, Stephan Gladieu, Paul Rousteau, Marine Billet et Thorsten Brinkmann. Au milieu du défilé de costumes gris et d’attachés-cases, on est prêts à parier que les travaux colorés de cette dizaine d’artistes vous redonneront le sourire.

 

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Nyeleni-Tiesiralan (Attacher la ceinture)

Dans son travail « Tiesiralan » (Attacher la ceinture), Fatoumata Diabate explore les différentes fonctions et significations attribuées au balai dans la société malienne. De manière plastique et photographique, elle dissèque cet objet domestique et l’interroge sur ses caractéristiques pratiques, mystiques, masculines et féminines.

 

Tiesiralan (Fasten the belt) In her work « Tiesiralan » (Attach the belt), Fatoumata Diabate explores the different functions and meanings attributed to the broom in Malian society. In a plastic and photographic way, she dissects this domestic object and questions its practical, mystical, masculine and feminine characteristics.

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Arte intercultural

 

Art, beauté et échanges dans la rue : un photographe malien s’installe Praça Castro Alves
Fatoumata Diabaté sera samedi (1) avec 16 autres photographes de Bahia au centre de la ville
Inspirée par les vieux studios de rue qui étaient courants dans son pays entre les années 1950 et 1960, Fatoumata Diabaté décide de devenir photographe. C’est un moyen que l’artiste malien a trouvé pour créer des mondes dans lesquels les gens se font confiance.

Le travail de l’artiste s’est fait connaître dans plusieurs pays et cette année, elle a reçu le défi de partager son expérience dans une résidence artistique avec 16 femmes de Bahia. Et le voyage a été une aventure : pour elle et pour les résidents. Des artistes comme Helen Salomão, Maiara Cerqueira, Shai Andrade et Ana Dumas participent à la résidence et garantissent que ce fut une découverte incroyable. Et cela aura plusieurs conséquences.

http://www.guianegro.com.br

 

 

 

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Art, beauté et échange dans la rue : un photographe malien installe son studio sur la place Castro Alves

 

Artiste primée, Fatoumata s’est imposée dans le projet Le Studio Photo de la Rue, qui consiste à mettre en place des studios de rue qui recréent l’esthétique des grands maîtres de la photographie africaine des années 50 et 60, en gardant vivante l’histoire de l’un des répertoires les plus significatifs de la production culturelle africaine.

« De nos jours, les gens ne se font pas confiance et le studio dans la rue provoque cette confiance chez l’autre, il crée des échanges affectifs. Là où je suis allé avec mon studio, il y a toujours eu de très bonnes choses. Les gens ressentent cette chose positive, l’idée de créer le studio, la nostalgie d’une époque où ces studios étaient courants », explique-t-il.

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Les résidentes se sont divisées en binômes et ont choisi une décennie qui servira de base à leurs projets, qui seront également présentés. Tous les samedis de novembre, jusqu’au 1er décembre, les 16 femmes seront dans leurs ateliers à Bahia, mettant en pratique le Street Studio Festival et faisant avancer les enseignements de Fatoumata et sa façon de penser l’art et la beauté.

 

 

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ESTÚDIO ÁFRICA: CONEXÃO MALI – BAHIA

Scènes de la troisième édition du projet Africa Studio, inspiré par l’histoire de la photographie africaine, créé par l’anthropologue et conservateur de la photographie Goli Guerreiro, qui a fait venir à Salvador da Bahia la photographe malienne Fatoumata Diabaté. La résidence de l’artiste malienne a préparé 16 photographes bahianais à l’art de créer des studios de rue. Réalisation : Lindwie Aguiar de Ogunjá Videos

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